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Le 12 février 2014, sous les exhortations des meneurs de la droite et de l’extrême droite vénézuéliennes, de rares manifestations pacifiques et, surtout, d’incessantes actions de guérilla urbaine ont mis le feu à quelques villes du pays – toutes entre les mains de maires d’opposition.

Sous le vocable générique de guarimbas (barricades faites de tout type de matériel et de pneus enflammés), cette vague de violences sauvages a laissé dans son sillage le lourd bilan de 43 morts (dont neuf fonctionnaires des forces de l’ordre) et 878 blessés.
S’agissant de ces victimes, que s’est -il passé depuis ?
 
Article complet de Maurice Lemoine sur le site Mémoire des luttes

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