Appropriation illégale des ressources monétaires du Venezuela par le gouvernement des États Unis

• Les agences de notation financière sont des institutions qui travaillent au service de la politique extérieure des États-Unis d’Amérique. Le Venezuela a perdu plus de 1,4 milliard de dollars en raison de la manipulation des informations publiées par ces sociétés.

 • Le blocus que les États-Unis ont imposé au Venezuela depuis 2014 avec la première loi de “sanctions” signée par Obama et ratifiée par Donald Trump, représente pour le pays plus de 300 millions de dollars de pertes dans le secteur alimentaire seulement.

• Les banques et institutions internationales pillent l’argent vénézuélien déposé à l’étranger. Plus de 5 milliards de dollars ont été volés au Venezuela par ces organisations criminelles.

• Les institutions financières internationales ont exclu le Venezuela de leurs systèmes par crainte des “sanctions” américaines. Ils ont unilatéralement annulé des contrats de correspondance bancaire avec notre pays, aggravant ainsi les souffrances du peuple vénézuélien.

• Quotidiennement, les banques aux États-Unis et en Europe limitent et interrompent les processus financiers liés au Venezuela. Ils refusent la possibilité que nous fassions des transactions librement. Ils essaient de nous isoler afin d’asphyxier tout le peuple.

• En imposant les soi-disant sanctions contre la Banque Centrale du Venezuela, les États-Unis cherchent à empêcher le gouvernement national d’importer des denrées alimentaires de base et des médicaments essentiels pour le traitement des patients qui sont dans un état délicat. Des criminels.

• Les “sanctions” signées par l’Administration Trump le 24 août 2017 interdisent au système financier mondial de participer à tout achat, vente, négociation ou renégociation de la dette souveraine du Venezuela.

• ​La Banque d’Angleterre garde sous séquestre les économies du peuple vénézuélien en or d’une valeur de 1,359 milliard de dollars. Ils refusent de restituer l’argent à la demande des États-Unis et de ses institutions. Ce qu’ils font, c’est un pillage de pirates.

• La banque étasunienne Citibank s’est unilatéralement approprié au moins 196 millions d’euros appartenant à l’État vénézuélien, sans raison logique. C’est un vol flagrant du patrimoine vénézuélien.

• Les banques européennes bloquent les comptes et pillent les ressources du Venezuela comme à l’époque de la piraterie. À elle seule, la Banque de Londres retient 453 millions d’euros en otage, qui étaient destinés à l’achat de nourriture et de médicaments.

• Le Venezuela est victime d’un vol qualifié flagrant dirigé depuis les États-Unis et l’Europe. Ils pillent les ressources de la nation pour les briser de l’intérieur. La North Capital Bank à elle seule nous a volé 238 millions d’euros.

• Les banques portugaises ont également participé au pillage des richesses vénézuéliennes. Ils suivent la politique américaine. Rien que le Novo Banco séquestre 1’543 millions d’Euros.

Les mesures coercitives du gouvernement Trump ont empêché PDVSA de transferrer la somme de 4.851.252€ nécessaire aux soins médicaux de 26 patients (parmi eux des enfants) en Italie pour la greffe de moelle osseuse, trois fois le système financier a refusé la transaction.

• Toute opération liée à la dette de la compagnie pétrolière nationale PDVSA est affectée par les mesures coercitives et unilatérales signées contre l’économie vénézuélienne par les États-Unis.

• Depuis août 2017, Donald Trump a signé trois décrets punitifs contre l’économie vénézuélienne :

– Contre la cryptomonnaie Petro.
– Contre les comptes débiteurs.
– Et contre l’or vénézuélien.

• Avec la signature des décrets de sanction, le gouvernement étasunien a légalisé sa politique d’intervention directe dans la souveraineté et les affaires intérieures du Venezuela.

• Les “sanctions” ont permis au gouvernement des USA d’approfondir et de légitimer la persécution contre l’économie vénézuélienne, imposant -de fait- un blocus économique et financier contre notre pays.

• La politique des “sanctions”, l’attaque contre les finances et le commerce des nations souveraines, vise à établir un siège économique en vue de provoquer un effondrement dans le “pays cible”.

• Les gouvernements qui n’obéissent pas à Washington sont attaqués financièrement pour permettre aux secteurs alignés sur les intérêts des États-Unis de s’emparer du pouvoir politique.

• Le récit portant sur l’existence d’une “crise humanitaire” au Venezuela fait partie du scénario écrit depuis le nord, pour justifier une intervention directe ou indirecte du pays.

• Les mesures coercitives et unilatérales, appelées “sanctions”, constituent dans la pratique un blocus à l’économie, aux finances et au commerce international du Venezuela.

•  Le blocus économique et financier entrave l’accès du Venezuela à la nourriture, aux médicaments, aux produits de base et au financement, ce qui a eu de graves répercussions sur les résultats économiques du pays depuis 2015, affectant durement le peuple vénézuélien.

• Le Venezuela ne peut négocier sa dette souveraine ni celle de PDVSA en raison du blocus imposé par les Etats-Unis depuis août 2017.

• Ces dernières années, des multinationales pharmaceutiques ont refusé d’expédier des médicaments achetés par le Venezuela sur ordre du gouvernement des États-Unis d’Amérique.

• Le refus de crédit et le blocus financier du Venezuela ont généré des pertes financières gigantesques pour la République.

• La ” Loi publique de défense des droits humains et de la société civile au Venezuela ” (Ley Pública de Defensa de los Derechos Humanos y la Sociedad Civil en Venezuela) est l’instrument juridique qui détermine la ligne d’action du gouvernement US concernant le blocus contre le Venezuela.

• Depuis 2015, un total de 2,5 milliards de dollars en dividendes a été distribué par Citgo Petroleum au Venezuela, un chiffre qui est actuellement compromis par le blocus financier.

Au cours des trois dernières années, le Gouvernement des États Unis a appliqué des sanctions punitives au Venezuela, parmi les plus importantes se trouve l’embargo de ses exportations de pétrole, soit 95% des revenus de la nation, la confiscation illégale de ses réserves d’or à la Banque d’Angleterre et l’interdiction de l’utilisation de comptes bancaires pour l’achat de médicaments.

• Le durcissement des sanctions américaines empêche la renégociation ou la restructuration de la dette souveraine du Venezuela et de la dette de PDVSA. Cette mesure vise à entraver le processus de renégociation avec les créanciers internationaux.

• En mars 2018, l’administration Trump a interdit la restructuration de la dette vénézuélienne par de nouvelles sanctions et empêché le rapatriement des dividendes de Citgo Petroleum, société publique du Venezuela.

• Lors du Sommet des Amériques de 2018, les États-Unis et la Colombie ont convenu d’accélérer les mécanismes visant à entraver les transactions financières du Venezuela et à entraver l’approvisionnement en produits de base du pays.

• La banque suisse Hyposwiss Private Bank a clôturé les comptes du fournisseur alimentaire Kabuco, bloquant le paiement de 15,9 millions d’euros destinés à payer un navire avec plus de 90 mille tonnes de gâteaux au soja destiné au Venezuela.

• En octobre 2018, la banque suisse Hyposwiss Private Bank a suspendu le paiement de 15,9 millions d’euros pour un navire qui transportait plus de 90’000 tonnes de gâteaux au soja destinés au Venezuela.

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